La découverte de deux cadavres soulève de nombreuses questions. S'agit-il d'un crime passionnel ayant entraîné le suicide du tueur pris de remords ou d'un crime crapuleux ? Ayant établi que l'assassin s'était caché dans un placard de l'appartement avant d'agir, Stabler et Benson sont amenés à s'intéresser à la propriétaire du club où l'une des victimes était chauffeur de taxi. Un interrogatoire serré permet d'établir un lien intéressant entre l'univers un peu louche de ce lieu de perdition et l'univers apparemment paisible des victimes. Le mobile du crime, en revanche, reste pour l'heure caché...

Une grand-mère affolée se rend au commissariat. Elle est reçue par Stabler et Benson, à qui elle déclare qu'elle n'a pas revu sa petite-fille de 11 mois depuis 48 heures. La mère du bébé, quant à elle, a passé le week-end à écumer les casinos d'Atlantic City. Benson et Stabler interrogent la mère, qui les rassure et leur propose de venir avec elle chez la baby-sitter, où elle aurait laissé son enfant. Mais les inspecteurs découvrent qu'elle leur a menti : l'adresse de la nounou est fausse, et la fillette demeure introuvable. Qu'a-t-il bien pu se passer ?

Une jeune fille est tombée dans l'escalier de son lycée. Le médecin a alors découvert des cicatrices antérieures à sa chute sur tout son corps. Il prévient aussitôt la police. Les enquêteurs apprennent rapidement que Kim avait envoyé des photos d'elle nue, prises avec son téléphone portable. Pour la forcer à dénoncer l'auteur des violences qu'elle a subies, la substitut du procureur accuse la jeune fille de recel et de diffusion de pornographie infantile. Elle craque, mais la juge refuse d'abandonner les poursuites et la condamne à une lourde peine. Benson se demande pourquoi la magistrate a fait preuve de tant de sévérité. Elle cherche à en savoir plus...

Quand une erreur compromet une affaire de meurtre, les inspecteurs se dépêchent de trouver davantage de preuves avant que le tueur ne se venge sur la brigade...