In Morocco, new excavations on the site of Jebel Irhoud upset the generally accepted view of the dating of the appearance of man.

Au Maroc, la découverte d’ossements par un chercheur français bouleverse notre vision de la préhistoire. Le récit palpitant d’une aventure scientifique, entre effondrement des certitudes et prouesses technologiques. Un crâne à la face allongée et aux arcades sourcilières proéminentes : c’est, en 1960, l’incroyable découverte faite par un ouvrier dans une mine du Djebel Irhoud, au Maroc. Serait-ce un homme de Neandertal ? Le carbone 14 permet de dater la trouvaille à plus de 40 000 ans, mais à quand remonte-t-elle précisément ? Dans les années 1980, le chercheur français Jean-Jacques Hublin et son collègue, le professeur marocain Abdelouahed Ben-Ncer, émettent une autre hypothèse. Pour eux, le crâne appartiendrait non pas à un Néandertalien mais à un Homo sapiens, et serait bien plus ancien.

Im Juni 2017 wurde bekannt, dass Forscher in Marokko die Überreste von fünf Homo-sapiens-Individuen entdeckt hatten. Sie datierten die Knochen auf ein Alter von etwa 315.000 Jahren – damit wäre die menschliche Spezies rund 100.000 Jahre älter als bislang angenommen. Der Dokumentarfilm schildert, wie damit die Vorstellung vom Ursprung der menschlichen Spezies revolutioniert wurde. (Text: arte)

Confira os impactos da descoberta de fósseis de homo sapiens que provaram que a espécie surgiu há muito mais tempo do que se imaginava e ocupava um território muito maior do que o previsto.

Un descubrimiento que ha reescrito la Historia del origen de la humanidad. Y no solo amplía la línea de tiempo del Homo sapiens, sino que también cambia el lugar del que procedemos: toda la región subsahariana.