English (en-US)

Name

Philippe Djian

Biography

Philippe Djian (born 3 June 1949) is a popular French author of Armenian descent. He won the 2012 Prix Interallié for the novel "Oh..." (Elle for the English translation).

Djian graduated from the ESJ Paris. After a period of wandering and odd jobs, he published a volume of short stories, 50 contre 1 (1981), and then the novels Bleu comme l'enfer (1982) and Zone érogène (1984) before gaining fame with his subsequent novels 37°2 le matin (1985), Maudit Manège (1986), Echine (1988), Crocodiles (short stories) (1989), Lent dehors (1991), Sotos (1993), and Assassins (1994).

Five of his novels have been adapted into films: 37°2 le matin (1986; English title Betty Blue) which was filmed by Jean-Jacques Beineix, Bleu comme l'enfer (1986; English title Blue Hell) directed by Yves Boisset; Impardonnables (2011; English title Unforgivable) directed by André Téchiné; Love Is the Perfect Crime (2013; original title L'Amour est un crime parfait) directed by Arnaud Larrieu and Jean-Marie Larrieu; and Oh... (as Elle (2016) directed by Paul Verhoeven). He also co-wrote the screenplay of Ne fais pas ça (2004) with Luc Bondy.

The TV presenter Antoine De Caunes introduced him to Swiss singer Stephan Eicher. The two men became friends and Djian became the writer of Eicher's lyrics, at least for the songs in French.

Djian frequently moved (from Boston to Florence). Today he lives in Biarritz and, on average, writes a novel every 18 months. With Doggy Bag, written in 2005, he started a literary series with six seasons, inspired by American TV series.

Source: Article "Philippe Djian" from Wikipedia in English, licensed under CC-BY-SA 3.0.

French (fr-FR)

Name
Biography

Philippe Djian est un romancier, nouvelliste, parolier et scénariste français né le 3 juin 1949 à Paris. Il est notamment l'auteur de 37°2 le matin, publié en 1985.

Philippe Djian, aîné de trois garçons, passe une enfance paisible dans une famille de la petite bourgeoisie du 10e arrondissement parisien. Un camarade rencontré au collège, Jérôme Equer, lui fait découvrir la littérature, puis le pousse à l'écriture, d'abord sous forme de carnets, lors de leurs divers voyages. Le premier les mène aux États-Unis, à 18 ans, sur les traces du héros de L'Attrape-cœurs de J.D. Salinger. Ils partent ensuite pour la Colombie, réaliser un reportage pour Paris Match.

Ses premières lectures lui inculquent une certaine idée de l'importance du style: Mort à crédit de Louis-Ferdinand Céline, Tandis que j'agonise de William Faulkner, L'Attrape-cœurs de J.D. Salinger. Sa préférence va à la littérature américaine. «Écrire, c'est mettre de l'harmonie, c'est donner de la cadence au temps, du mouvement à l'espace, du swing à l'ennui. Voilà ce que j'ai appris de Kerouac, une leçon primordiale, essentielle, vitale qui lui a pourtant valu d'être banni de l'intelligentsia.» Son ouvrage Ardoise, publié en 2002, est consacré aux «dix premiers [écrivains] qui ont bouleversé ma vie et m'ont amené à la littérature.»: J. D. Salinger, Louis-Ferdinand Céline, Blaise Cendrars, Jack Kerouac, Herman Melville, Henry Miller, William Faulkner, Ernest Hemingway, Raymond Carver et Richard Brautigan. Il découvre ce dernier à la fin des années 1970, «J'ai commencé par Un privé à Babylone et j'ai reçu un choc. […] C'était une découverte incroyable, je ne pensais pas que l'on pouvait à la fois s'amuser et être sérieux, c'était une poésie qui me touchait beaucoup, une poésie du quotidien.» C'est aussi l'auteur qu'il choisit pour l'épigraphe de son roman 37°2 le matin, en 1985.

Denis Johnson ou Martin Amis sont aussi des auteurs qu'il apprécie, «mais comme je les trouve meilleurs que moi, je préfère les laisser de côté quand je travaille», déclare-il en 2003 au magazine Lire. Plus récemment, en 2010, il indique au journal L'Express: «Aujourd'hui, j'aime beaucoup Jay McInerney […] ou Bret Easton Ellis. American Psycho, c'est quand même très fort. Mais je considère que le plus grand est Philip Roth, celui de Pastorale américaine.» En littérature française, il cite dans ce même entretien les auteurs Patrick Modiano, Jean Echenoz ou Christian Gailly comme auteurs «meilleurs» que lui.

Concernant ses propres ouvrages, «ils ne sont jamais les livres que j’avais envie d’écrire au départ. J’essaye d’écrire le livre que j’ai envie de lire. Mais on change, une fois qu’il est fini. Alors, il ne me contente plus: je suis obligé d’en faire un autre.» Ses livres partent d'une première phrase: «La seule part d'inspiration — et encore — , c'est la première phrase. Cette fameuse première phrase d'où tout découle.» Il n'a jamais écrit à la main, toujours sur une machine à écrire, puis sur ordinateur.

Il rencontre sa future femme à 25 ans, au milieu des années 1970, surnommée Année, qui a alors 16 ans. Elle devient artiste peintre, et ils ont ensemble plusieurs enfants. ...

Source: Article "Philippe Djian" de Wikipédia en français, soumis à la licence CC-BY-SA 3.0.

You need to be logged in to continue. Click here to login or here to sign up.

Can't find a movie or TV show? Login to create it.

Global

s focus the search bar
p open profile menu
esc close an open window
? open keyboard shortcut window

On media pages

b go back (or to parent when applicable)
e go to edit page

On TV season pages

(right arrow) go to next season
(left arrow) go to previous season

On TV episode pages

(right arrow) go to next episode
(left arrow) go to previous episode

On all image pages

a open add image window

On all edit pages

t open translation selector
ctrl+ s submit form

On discussion pages

n create new discussion
w toggle watching status
p toggle public/private
c toggle close/open
a open activity
r reply to discussion
l go to last reply
ctrl+ enter submit your message
(right arrow) next page
(left arrow) previous page

Settings

Want to rate or add this item to a list?

Login